C'est L'heure du Grand Chanbardement ! ! !
Parole de Géronimoyayhalay le Chef et Fier Guérrier de lApaches( 16 Juin 1829-17 Février 1909 )
Géronimotathlané le 16 Juin 1829 dans la tribu apache Berdonkohe prés du Turkey Creek , ffluent de la Riviére Gila ( Nouveaux Mexique ) est mort le 17 Février 1909
à Fort Sill ( Oklahoma.Unis ) , appelé Go Khia ( celui qui baille à sa naissance ) , parfois écrit Goyathalay puis encore surnommé Guu Ji Ya ( "L'astucieux" ) , il est l'un des protagonistes des guerres apaches , le dernier à continuer à se battre contre le Mexique et les Etats pour le Droit des Amérindiens avant sa Rédition en 1886.......
Il Disait : Lorsque le dernier Arbre aura été coupé , Loreque la derniére riviére aura été empoisonnée , Lorsque le dernier poisson Aura été péché , Alors on Saura que L'Argent ne se mange pas ! ! !
Parole de Sitting black ball Bull ( 2 Novembre 1955-Janvier 2021 advitame Etérnam ) :
On Sait que L' Argent ne se mange pas , pourtant des Individus Fameux mais mal Famées ,
mettent le Feux à la Forét Amazonienne , Indonésienne , etc...... ,
Pour ammasser les Dollars dans les Caves des Banques Suisses ou
autres Paradis Fiscaux , aux mépris des Lois aux méprix des gens ,
aux méprix de L'Humanité toute entiére , dans le seul but d'ammaser les Dollars , toujours plus , et encore plus sur notre dos et en exterminant les Indiens qui vivent dans et de la Forét depuis toujours pour Faire pousser La Canne à Sucre ou autre plantations d'Hévéas etc..... , Sans Vergogne et sans limites ! ! !
notre vieux potes Coluches disait :
" Ils n'ont qu'a pas L'acheter " , Hé oui c'est aussi simple que cela , Il suffit de Boycotter leurs produits ,
Que personne ne leurs achétent , et ils auront plus qu'a en faire de la Confiture pour Martiens , Car plus de Clients sur cette planéte et le Probéme se résoudra de lui méme , on remplace leur caoutchoux par des pneus à base d'algues ou de Chanvre Indien , et pareil ils vont
Se Faire foutre sur une autre Planéte genre Mars ou Jupiter , et vous verrez qu'ils couperont leurs Hévéas ,
Détruirons leurs plantations , Respecterons les Foréts
en Amazonie en Indonésie , au Brésil et dans toute
L' Amérique du Sud et Centrale , à Java , à Sumatra ,
à Bornéo , à Madagascar , en Afrique du Nord comme du Sud et tutti quanti ! ! !
Alors Viendra de Fait le Temps du Grand Chanbardement , ou ce seront les Citoyens du Monde qui reprendront leurs destains en mains e toute Liberté et envoyer se faire foutre en Block , tous les profiteurs du systéme Capitaliste mondialisé de La Chine à L'Afrique en Passant par le Brésil de cet Enfoiré de Jair Bolsonaro , de Donald Trump qui est le 45e président des Etats Unis , d' Amérique :
Le tableau ci-dessous présente la liste des présidents des États-Unis depuis l'indépendance, du plus ancien au plus récent, ainsi qu'une frise chronologique les présentant d'après leur étiquette politique, du plus récent au plus ancien.
Martin Van Buren est le premier président à naître citoyen américain, ses prédécesseurs naissant sujets britanniques. Sa famille étant originaire des Pays-Bas, il est également le premier président dont l'anglais n'est pas la langue maternelle. Franklin Delano Roosevelt est le premier président à être élu pour quatre mandats, le dernier cependant inachevé du fait de son décès. Il reste le seul président américain réélu trois fois successivement. Il est également le seul à accomplir plus de deux mandats puisque le XXIIe amendement constitutionnel, qui entre en vigueur en 1951, interdit depuis aux présidents de briguer un troisième mandat. En outre, Grover Cleveland est le seul président à être élu pour deux mandats non consécutifs. Il est donc à la fois le 22e et le 24e président. Ainsi, si Donald Trump est le 45e président, il n'existe que 43 personnes qui portent ce titre avant lui1. Un seul président accède à la présidence sans être élu ni à la présidence ni à la vice-présidence : succédant à Richard Nixon à la suite de sa démission, Gerald Ford avait été nommé vice-président en remplacement du vice-président démissionnaire, Spiro Agnew, en 1973.
Neuf présidents américains ne terminent pas leur mandat et sont donc remplacés par leur vice-président. Un seul président est démissionnaire (avant la fin de la procédure d'impeachment), Richard Nixon, tandis que huit sont décédés durant leur mandat : quatre sont assassinés (Abraham Lincoln, James A. Garfield, William McKinley et John Fitzgerald Kennedy) et quatre sont morts naturellement (William H. Harrison, Zachary Taylor, Warren G. Harding et Franklin Delano Roosevelt). À la date du 19 janvier 2021, quatre anciens présidents des États-Unis sont vivants : Jimmy Carter, Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama.
Barack Obama, fils d'un Kényan et d'une Américaine, est le premier président métis de l'histoire des États-Unis. John Fitzgerald Kennedy reste l'unique président de confession catholique jusqu’à l’investiture de Joe Biden en 2021.
Nom de naissance | Go Khla Yeh (« celui qui bâille ») |
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Alias |
Geronimo, Guu ji ya (« l'astucieux »)
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Naissance | 16 juin 1829 Rivière Gila, Mexique |
Décès | 17 février 1909 Fort Sill, Oklahoma, États-Unis |
Nationalité | apache |
Pays de résidence | Mexique, États-Unis |
Activité principale |
Geronimo1 est né le 16 juin 1829 dans la tribu apache Bedonkohe près du Turkey Creek, affluent de la rivière Gila (Nouveau-Mexique, alors sous domination mexicaine), et mort le 17 février 1909 à Fort Sill (Oklahoma, États-Unis). Appelé Go Khla Yeh (« celui qui bâille ») à sa naissance, parfois écrit Goyathlay, ou encore surnommé Guu Ji Ya (« l'astucieux »), il est l’un des protagonistes des guerres apaches, le dernier à continuer à se battre contre le Mexique et les États-Unis pour les droits des Amérindiens, avant sa reddition en 1886.
Sommaire
Biographie
Né au Nouveau-Mexique dans la tribu des Apaches Bedonkohe à Nodoyohn Canyon (anciennement au Mexique) près de la rivière Gila. Fils de Taa Di Tlish Hn et de Gha Den Dini (« celle qui est traversée par la lumière »), il n'a jamais été chef, mais en tant qu'homme-médecine (chaman)[réf. souhaitée] et guerrier reconnu et respecté, il eut une grande influence sur les Apaches Chiricahuas. Après la mort de Taza, le fils aîné de Cochise, Naiche, le second fils du vieux chef doit partager le contrôle de la tribu avec lui. Par ailleurs, son beau-frère Juh était un leader de la tribu des Apaches Nednis.
Geronimo est admis au conseil de guerre des Apaches Chiricahuas en 1846. En 1858, après le meurtre de sa mère, de sa femme et de ses trois enfants par l’armée mexicaine près d’un village appelé Kas-ki-yeh par les Apaches, il commence des raids de représailles en territoire mexicain. On dit que Geronimo a fait un rêve la veille du jour où les hommes blancs sont arrivés, il aurait rêvé que des hommes de couleur blanche venaient sur leurs terres pour les exterminer. Il venge sa famille le 30 septembre 1859, jour de la saint-Jérôme. Les cris des Mexicains invoquant saint Jérôme pour leur défense (« Geronimo ! Geronimo ! ») l'inspirent et il prend alors ce nom. Plus tard, lors d'une autre attaque surprise, les Mexicains tuent sa nouvelle épouse et son fils.
En octobre 1862, il participe avec les chefs Cochise et Mangas Coloradas à la bataille d'Apache Pass. En janvier 1863, Mangas Coloradas — malgré l'opposition de Geronimo — se rend au Fort McLane, dans la petite ville d'Apache Tejo, pour y signer un traité de paix.
En 1871, après près de dix ans de guerre contre les États-Unis, les Apaches Chiricahuas, alors dirigés par Cochise, négocient un accord de paix sur les conseils de Tom Jeffords. Ils obtiennent la création d’une réserve sur leurs terres.
Mais en 1876, la réserve Chiricahua est fermée par les autorités américaines. La plupart des Amérindiens sont déportés vers la réserve de San Carlos, fertile mais considérée par les Apaches comme une terre maudite. Geronimo, Naiche et Juh s'enfuient avec une centaine d'individus, tandis que la majorité des Apaches, épuisés des guerres incessantes, acceptent le déplacement. Geronimo est arrêté l’année suivante au Nouveau-Mexique par l’agent indien John P. Clum et transféré à San Carlos. Libéré, il s’enfuit de la réserve quelques mois plus tard. Il gagne le Mexique où il vit de pillages, avant de regagner San Carlos en 1879.
En septembre 1881, peu après la mort de Nochedelklinne, un leader spirituel apache tué par les soldats, Naiche, Geronimo et Juh s’enfuient à nouveau de leur réserve. Ils lancent de violentes attaques contre les colons blancs avant de s’évanouir dans les montagnes mexicaines. En novembre 1882, ils y abattent les 22 soldats mexicains du capitaine Juan Mata Ortiz.
Les raids des Apaches débordent du côté États-Unis (en Arizona et Nouveau-Mexique) : en mars 1883, 26 colons américains sont tués. Le général George Crook est chargé de protéger la population blanche et entreprend de traquer les Apaches hostiles dans leurs repaires mexicains. Un camp découvert par les éclaireurs apaches de Crook est attaqué en mai 1883. Les leaders apaches acceptent alors le principe d’une reddition. En 1884, Geronimo s’établit de nouveau dans la réserve de San Carlos.
Geronimo, en compagnie de Naiche et plusieurs membres de la tribu, s'échappe encore plusieurs fois, vivant de pillages, avant de se rendre. L'arrestation brutale du guerrier Ka-ya-ten-nae le pousse à s'enfuir une nouvelle fois le 17 mai 1885 avec 109 femmes et enfants, et 35 hommes.
Depuis le Mexique, ses hommes lancent plusieurs raids meurtriers en Arizona et au Nouveau-Mexique. Il est de nouveau retrouvé au Mexique par des éclaireurs apaches en mars 1886. Pendant une conférence avec le général Crook, il accepte de regagner la réserve avec les soldats américains. Il se ravise plus tard et s’échappe dans les montagnes avec Naiche, une quinzaine de guerriers et quelques femmes et enfants.
Crook ayant démissionné, c’est le général Nelson Miles qui est chargé de le poursuivre avec 5 000 hommes et des milliers de volontaires. 3 000 soldats mexicains sont aussi mobilisés contre les Apaches au sud de la frontière. En marge de la poursuite de Geronimo, le général Miles fait déporter en Floride les Chiricahuas vivant en paix dans la réserve de San Carlos. Pendant plus de cinq mois, Geronimo et ses partisans réussissent à passer entre les mailles du filet, utilisant la surprise, la mobilité et les connaissances des Apaches des modes de survie dans des conditions extrêmes. La capacité à disparaître de Geronimo était attribuée selon son peuple à des pouvoirs de prémonitions qui l'avertissait de la présence de l'ennemi, pouvoirs liés à son statut de chaman2. Épuisé, fatigué de se battre, il finit par se rendre le 4 septembre 1886 avec 16 guerriers, 12 femmes et 6 enfants. « C’est la quatrième fois que je me rends » dit-il.
Les campagnes de guérilla de Geronimo restent un parfait exemple du genre. Ses excellentes connaissances géographiques et ses facultés à exploiter des ressources humaines limitées et des terrains difficiles ont fait de lui un stratège et un tacticien de premier ordre.
Sa reddition a fait l'objet d'une polémique au sein de l'armée américaine, car le général Howard, chef de l'armée américaine de la zone Pacifique, a rendu compte à son chef d'état major, à l'attention du Congrès et du président des États-Unis, de la reddition d'un dangereux hors-la-loi obtenue sans condition, alors que des témoins (notamment le général Stanley) ont rapporté, de leur côté, que Geronimo s'est constitué prisonnier de guerre moyennant la prise en charge humanitaire, sociale et éducative des communautés apaches par l'État fédéral3.
Sur ordre spécial du président Grover Cleveland, il est placé sous surveillance militaire étroite à Fort Pickens en Floride avec quatorze de ses braves. Le climat humide de la Floride s’avère malsain pour les Apaches habitués à celui du désert et plusieurs d'entre eux décèdent. Les survivants sont ramenés à Fort Sill, en Oklahoma, en 1887. Geronimo se convertit alors au christianisme et devient agriculteur. Il regrette cependant jusqu'à la fin de ses jours de s'être rendu. Il vend des souvenirs à l'Exposition universelle de 1904, étant de ce fait présent aux Jeux olympiques de Saint-Louis, et participe à la parade d'inauguration de Theodore Roosevelt en 1905.
Il dicte l’histoire de sa vie en 1906 avant de mourir d'une pneumonie à Fort Sill, en Oklahoma, le 17 février 1909. Son dernier vœu est d'être enterré sur les terres de la rivière Gila.
La légende dit qu'il se serait jeté à cheval d'une falaise de l'Oklahoma en criant son nom, d'où le cri des parachutistes américains pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce cri a notamment été repris par Jerry Lewis dans son film Le Tombeur de ces dames.
Sa tombe au cimetière du camp militaire Fort Sill aurait été profanée vers 1918 par la société secrète Skull and Bones de l'université Yale. Cette société conserverait encore le crâne, deux os, une bride et des étriers de Geronimo dans ses locaux de New Haven. On compterait au nombre des profanateurs Prescott Bush, père de l'ex-président George H. Bush et grand-père de l'ex-président George W. Bush4. Cet épisode est considéré comme une légende par plusieurs chercheurs tandis que l'historien David H. Miller estime que si les membres de la société ont bien profané une tombe, il y a peu de chance que ce soit celle de Geronimo qui ne comportait pas d'indication à l'époque5.
En 2009, année du centenaire de sa disparition, l'arrière-petit-fils de Geronimo entreprend une action contre le gouvernement américain pour rassembler les restes de son aïeul et ramener sa dépouille auprès de son lieu de naissance au Nouveau-Mexique4 et faire ainsi respecter ses dernières volontés2.
En 2010, le nom « Geronimo » a été pris comme nom de code par les États-Unis pour désigner Oussama ben Laden. L'annonce a été faite juste après l'opération militaire héliportée qui a entraîné sa mort à Abbottabad, au Pakistan, le 2 mai 2011. Le message Geronimo-EKIA, contraction de Geronimo, Enemy Killed in Action (« Geronimo, ennemi tué au combat ») a servi au commando des Navy Seals6 pour aviser la Maison-Blanche du succès de l'opération. Ce nom d'emprunt a suscité la colère des communautés amérindiennes7.
Bibliographie
- Mémoires de Géronimo, tr. par Martine Winitzer, introduction de Frederick W. Turner, Éditions Maspero, 19728, rééd. La Découverte, 2003, (ISBN 9782707141972).
- David Roberts, Nous étions libres comme le vent, Albin Michel, 1999, Terre indienne, 395 pages, (ISBN 2226108777).
- Samuel E. Kenoi et Morris Opler, La Chute de Géronimo, Anacharsis, mai 2007, [1] [archive]
- Olivier Delavault, Geronimo, Gallimard, Collection Folio Biographies, 2007, (ISBN 2-07-030752-2)
- Corine Sombrun et Harlyn Geronimo, Sur les pas de Geronimo, Albin Michel 2008, coll. « Terre indienne ».
- Patrick Mosconi, L'agonie de Geronimo et autres clichés, Jean-Paul Rocher éditeur, 2000.
- Angie Debo, Geronimo: The Man, His Time, His Place, University of Oklahoma Press, 2012.
- Odie B. Faulk, The Geronimo Campaign, Oxford University Press, 1969.
Dans la littérature et la bande dessinée
- Forrest Carter, Pleure, Géronimo, Folio/Gallimard (ISBN 2 07 0401 421).
- Matz et Jef, Geronimo, Rue de Sèvres, mars 2017.
- Patrick Mosconi, Le chant de la mort, (Pour une douleur apache), Gallimard, Folio, 1996.
- La série de BD Blueberry de Jean Giraud.
- Bill Dugan, Geronimo, HarperCollins Publishers, 2011.
- Philippe Morvan, Ours, Editions Calmann-Lévy, 2018.
- L. Sauerwein, Géronimo, le dernier chef apache, Hachette Jeunesse, 2004, Le Livre de poche Jeunesse, (ISBN 2011167728).
Filmographie
- Geronimo last raid (1912) - Réalisation : Gilbert P. Hamilton - Rôle de Geronimo non crédité au générique
- La Chevauchée fantastique (1938) - Réalisation : John Ford – Chef White Horse (Geronimo)
- Hawk of the Winderness (1938) - Réalisation : William Witney – Tony Urchel (Geronimo)
- Geronimo le Peau rouge (1939) - Réalisation : Paul Sloane - Chief Sundercloud (Geronimo)
- La Vallée du Soleil (1942) - Réalisation : George Marshall - Tom Tyler (Geronimo)
- Train for Alcatraz (1948) - Réalisation : Philip Ford - Iron Eyes Cody (Geronimo)
- I Kill Geronimo (1950) - Réalisation : John Hoffman - Chief Sundercloud (Geronimo)
- La Flèche brisée (1950) - Réalisation : Delmer Daves - Jay Silverheels (Geronimo)
- Le Dernier Bastion (1951) - Réalisation : Lewis Foster - Iron Eyes Cody (Geronimo)
- Son of Geronimo, Apache Advenger (1952) - Réalisation : Spencer Gordon Bennet - Chef Yowlachie (Geronimo)
- Au mépris des lois (1952) - Réalisation : George Sherman - Jay Silverheels (Geronimo)
- Les Derniers Jours de la nation Apache (1952) – Réalisation : Ray Nazarro - Miguel Inclan (Geronimo)
- Bronco Apache (1954) - Réalisation : Robert Aldrich - Monte Blues (Geronimo)
- Taza, fils de Cochise (1954) - Réalisation : Douglas Sirk - Ian Mac Donald (Geronimo)
- L’Homme de San Carlos (1956) - Réalisation : Jess Hill - Jay Silverheels (Geronimo)
- Geronimo (1962) - Réalisation: Arnold Levin - Chuck Connors (Geronimo)
- Mister Horn (TV-1979) - Réalisation : Jack Starett - Enrique Lucero (Geronimo)
- Geronimo (1993) - Réalisation : Walter Hill - Wes Studi (Geronimo)
- Hot Shots! 2 (1993) - Réalisation : Jim Abraham - Stuart Proud Egal Grant (Geronimo)
- Geronimo (1993) - réalisation : Roger Young - Joseph Runningfox (Geronimo)
- Undead or Alive (2007) - Réalisation : Glasgow Philipps - Lew Alexander (Geronimo)
Notes et références
- Propos recueillis et préfacés par Stephen Melvil Barrett (1905-1906) grâce à la traduction d'Asa Daklugie, New York, Duffield & Company, 1906 et rééditée par E. P. Dutton & Co, New York, 1970.
Voir aussi
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- Bibliothèque nationale du Portugal
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- WorldCat
- « Jérôme » en espagnol.
- Harlyn Geronimo et Corine Sombrun, Sur les pas de Geronimo, Éditions Albin Michel, coll. « Terre indienne », 2008.
- S.M. Barrett & Geronimo, Mémoires de Geronimo, collection La Découverte/Poche, La Découverte (2003) — cf. audition du général Stanley p. 157.
- « Le combat d'un descendant de Geronimo contre Yale » [archive], Le Figaro, 20 février 2009.
- (en)« Whose Skull and Bones? » [archive],Yale Alumni Magazine, mai/juin 2006.
- « Les Navy Seals, les forces spéciales qui ont tué Ben Laden » [archive], Libération, 3 mai 2011.
- « Ben Laden : le nom de code « Geronimo » offense les Indiens d'Amérique » [archive], Le Monde, 4 mai 2011.